Clans

Voici les camps dont vous pourrez découvrir les us et coutumes lors de la Feste médiévale de Saint-Marcellin.

La forêt Celte

Fondateurs : Josée Lauzier et Rémy Couture

Pour la douzaine de membres de l’organisation, la nature revêt une importance capitale, comme elle l’était pour les anciens Celtes. Ne connaissant pas l’écriture, cette peuplade a  pourtant formé une civilisation millénaire dans l’Europe d’avant notre ère. Bons cavaliers, les Celtes se déplaçaient également en chariots  à roues de bois pleines. Vivant de l’agriculture et de la forêt, ils se sont sédentarisés, comme le prouve la découverte  d’oppida (forteresses imposantes) sur des sites archéologiques majeurs (Hallstatt, La Tène).

Les guerriers celtes portaient un casque conique, parfois à cornes, et combattaient vêtus de courtes tuniques de lainage aux motifs à rayures ou en damiers. Certains allaient toutefois nus, se munissant d’un bouclier, de poignards, de lances ou d’épées longues. Bons artisans, ils travaillaient l’or et l’argent, fabriquant des torques, des fibules, des contenants rituels, des carnyx (sorte de trompes) et d’autres objets utilitaires ou commémoratifs. Tout comme les Gaulois auxquels ils sont associés, les Celtes honoraient de nombreuses divinités par le biais de rituels dirigés par des druides aux pouvoirs magiques. La forêt était sacrée et ils rendaient un culte à certains animaux.  Les Celtes incinéraient leurs morts et conservaient leurs cendres dans des urnes sises sous des tumulus.

Fondé en 2014-2015, le clan de la forêt Celte a adopté le chêne à trois entrelacs pour emblème, symbole du cycle de la vie. Le groupe caresse le projet de s’adonner à l’arborosculpture, une forme d’art qui utilise les rameaux de saule.

Ròtlönd

Fondateurs :

Description à venir

Camp des écossais - Clan Wallace

Dirigeants : Louis Landry et André Hallé

Aux confins des terres du Bourg de St-Marcellin, loin au-delà des murs de l’enceinte, se trouve le lieu-dit de Stoneheaven, terre ou réside dans le redouté clan Wallace.

Ce clan origine de son fondateur Richard d’Oswestry,  originaire du Pays de Galles, qui suivit son seigneur en Écosse vers 1067 et y gagna le surnom de Richard Waleis (Richard le Gallois). Le clan actuel prit ce nom de famille en l’honneur du héros national William Wallace, le « Braveheart » qui fut la bougie d’allumage de la résistance écossaise a l’envahisseur anglais.

À la feste médiévale de Saint-Marcellin, le clan reproduit les us et coutumes de ces populations qui vivaient au nord du mur d’Adrien dans le haut moyen-âge. Les « sept » et familles qui composent le groupe, préfigurent le système de caste et les traditions populaires qui perdureront jusqu’à son apogée en 1746, date de la bataille de Culloden ou le régime britannique démantèlera ce mode de vie ancestrale.

Au camp, il n’y a pas de vie de château ni de costumes riches que portais les nobles de cette époque, mais l’habillement simple des populations rurales des campagnes écossaises. Les visiteurs y comprendront pourquoi nous portons le fèileadh beag, le breacan fèild ou le fèileadh mòr de tartan dont l’origine se perd dans la nuit des temps. Mais surtout, ils y trouveront une reproduction d’un village typique composé d’une « Longhouse » de pierres sèche au toit de tourbe « unique au Québec », ses halles avec son four à pain, sa forge fonctionnelle, son gibet, ses maisonnettes de bois, et plus encore. La boutique de produits artisanaux et les différentes scènes ou l’histoire des armes à travers les siècles est à l’honneur. N’oublions pas l’ambiance celtique et les spectacles de musique écossaise.

À bientôt pour vivre l’expérience écossaise a Stoneheaven. Le Clan Wallace vous dit Alba gù Brath !!

Clan islandais Vegvisir

Répondant : Charlie Deschênes

Emblème du clan, le Vegvίsir est un symbole de protection magique à huit branches d’origine islandaise. L’Islande a été colonisé par des vikings reconnus pour leur intrépidité à parcourir les mers et ayant le goût de l’aventure, ce qui les mènera jusqu’en Amérique.

Des norvégiens accostent alors dès l’an 860 sur ces rivages peu boisés et comportant de nombreuses sources chaudes. L’île volcanique offrait de vaste pâturages et les ressources de la pêche à ces nouveaux arrivants. La colonisation s’y poursuivit jusqu’en 930, époque où commence l’Ère des sagas et l’histoire d’un peuple insulaire pourvu d’une société unique.

Quant à lui, le clan Vegvίsir a vu le jour en 2016 à l’initiative de Charlie Deschênes. Il compte une quinzaine de membres animés par le désir de faire connaître le mode de vie des islandais. Ils s’intéressent entre autres à l’élevage et à l’artisanat ayant joué un rôle prépondérant dans la survie des colonisateurs. Une revue historique est présentée par les membres lors de la feste médiévale, faisant revivre certains personnages de la fin de l’ère viking et représentant différentes nations ayant peuplé l’île.

Camp viking - Troupe Krablag

Responsable : Simon Gosselin

Fondée au printemps 2018, la troupe viking Krablag compte vingt-deux membres adultes. Tous partagent le même intérêt, soit la reconstitution du mode de vie viking entre les huitième et onzième siècles. Le nom Krablag, dérive de l’ancien vocable norrois « Krabbi » qui signifie « Crabe ». Ce terme, intégré au vocabulaire normand, puis français, trouve son équivalent en polonais (Krab). Les membres fondateurs ont décidé de se l’approprier car, à Rimouski, comme dans le Bas-Saint-Laurent et la Gaspésie, on connaît et on apprécie le crabe des neiges! C’est d’ailleurs la couleur de ce crustacé qui a inspiré celles du bouclier du clan (orange et blanc). Quant à la syllabe « Lag », elle évoque un groupe  au sein de l’armée internationale de Jomsborg, dont les membres de Krablag font partie.

Comme l’époque viking couvre plusieurs siècles et territoires, il ne faut pas s’étonner que certains membres de la troupe Krablag optent pour la reconstitution scandinave, alors que d’autres lui préfèrent la russo-slave. Enfin, plusieurs se spécialisent dans l’Histoire des peuples normands et anglo-saxons.

Krablag se distingue par l’entraînement au combat hebdomadaire et le maniement des armes. La dimension historique est primordiale et chaque participant appuie ses choix sur de solides références archéologiques. Parmi les armes utilisées, on note le bouclier circulaire peint de couleurs vives, les haches, lances et épées. La troupe prend grand plaisir à reproduire la bataille de Stamford Bridge qui mit, en quelque sorte, fin à l’ère viking le 25 septembre 1066.

Krablag!   Sława !

Camp des écossais - Clan Wallace

Dirigeants : Louis Landry et André Hallé

Aux confins des terres du Bourg de St-Marcellin, loin au-delà des murs de l’enceinte, se trouve le lieu-dit de Stoneheaven, terre ou réside dans le redouté clan Wallace.

Ce clan origine de son fondateur Richard d’Oswestry,  originaire du Pays de Galles, qui suivit son seigneur en Écosse vers 1067 et y gagna le surnom de Richard Waleis (Richard le Gallois). Le clan actuel prit ce nom de famille en l’honneur du héros national William Wallace, le « Braveheart » qui fut la bougie d’allumage de la résistance écossaise a l’envahisseur anglais.

À la feste médiévale de Saint-Marcellin, le clan reproduit les us et coutumes de ces populations qui vivaient au nord du mur d’Adrien dans le haut moyen-âge. Les « sept » et familles qui composent le groupe, préfigurent le système de caste et les traditions populaires qui perdureront jusqu’à son apogée en 1746, date de la bataille de Culloden ou le régime britannique démantèlera ce mode de vie ancestrale.

Au camp, il n’y a pas de vie de château ni de costumes riches que portais les nobles de cette époque, mais l’habillement simple des populations rurales des campagnes écossaises. Les visiteurs y comprendront pourquoi nous portons le fèileadh beag, le breacan fèild ou le fèileadh mòr de tartan dont l’origine se perd dans la nuit des temps. Mais surtout, ils y trouveront une reproduction d’un village typique composé d’une « Longhouse » de pierres sèche au toit de tourbe « unique au Québec », ses halles avec son four à pain, sa forge fonctionnelle, son gibet, ses maisonnettes de bois, et plus encore. La boutique de produits artisanaux et les différentes scènes ou l’histoire des armes à travers les siècles est à l’honneur. N’oublions pas l’ambiance celtique et les spectacles de musique écossaise.

À bientôt pour vivre l’expérience écossaise a Stoneheaven. Le Clan Wallace vous dit Alba gù Brath !!

Clan islandais Vegvisir

Répondant : Charlie Deschênes

Emblème du clan, le Vegvίsir est un symbole de protection magique à huit branches d’origine islandaise. L’Islande a été colonisé par des vikings reconnus pour leur intrépidité à parcourir les mers et ayant le goût de l’aventure, ce qui les mènera jusqu’en Amérique.

Des norvégiens accostent alors dès l’an 860 sur ces rivages peu boisés et comportant de nombreuses sources chaudes. L’île volcanique offrait de vaste pâturages et les ressources de la pêche à ces nouveaux arrivants. La colonisation s’y poursuivit jusqu’en 930, époque où commence l’Ère des sagas et l’histoire d’un peuple insulaire pourvu d’une société unique.

Quant à lui, le clan Vegvίsir a vu le jour en 2016 à l’initiative de Charlie Deschênes. Il compte une quinzaine de membres animés par le désir de faire connaître le mode de vie des islandais. Ils s’intéressent entre autres à l’élevage et à l’artisanat ayant joué un rôle prépondérant dans la survie des colonisateurs. Une revue historique est présentée par les membres lors de la feste médiévale, faisant revivre certains personnages de la fin de l’ère viking et représentant différentes nations ayant peuplé l’île.

Camp viking - Troupe Krablag

Responsable : Simon Gosselin

Fondée au printemps 2018, la troupe viking Krablag compte vingt-deux membres adultes. Tous partagent le même intérêt, soit la reconstitution du mode de vie viking entre les huitième et onzième siècles. Le nom Krablag, dérive de l’ancien vocable norrois « Krabbi » qui signifie « Crabe ». Ce terme, intégré au vocabulaire normand, puis français, trouve son équivalent en polonais (Krab). Les membres fondateurs ont décidé de se l’approprier car, à Rimouski, comme dans le Bas-Saint-Laurent et la Gaspésie, on connaît et on apprécie le crabe des neiges! C’est d’ailleurs la couleur de ce crustacé qui a inspiré celles du bouclier du clan (orange et blanc). Quant à la syllabe « Lag », elle évoque un groupe  au sein de l’armée internationale de Jomsborg, dont les membres de Krablag font partie.

Comme l’époque viking couvre plusieurs siècles et territoires, il ne faut pas s’étonner que certains membres de la troupe Krablag optent pour la reconstitution scandinave, alors que d’autres lui préfèrent la russo-slave. Enfin, plusieurs se spécialisent dans l’Histoire des peuples normands et anglo-saxons.

Krablag se distingue par l’entraînement au combat hebdomadaire et le maniement des armes. La dimension historique est primordiale et chaque participant appuie ses choix sur de solides références archéologiques. Parmi les armes utilisées, on note le bouclier circulaire peint de couleurs vives, les haches, lances et épées. La troupe prend grand plaisir à reproduire la bataille de Stamford Bridge qui mit, en quelque sorte, fin à l’ère viking le 25 septembre 1066.

Krablag!   Sława !

La forêt Celte

Fondateurs : Josée Lauzier et Rémy Couture

Pour la douzaine de membres de l’organisation, la nature revêt une importance capitale, comme elle l’était pour les anciens Celtes. Ne connaissant pas l’écriture, cette peuplade a  pourtant formé une civilisation millénaire dans l’Europe d’avant notre ère. Bons cavaliers, les Celtes se déplaçaient également en chariots  à roues de bois pleines. Vivant de l’agriculture et de la forêt, ils se sont sédentarisés, comme le prouve la découverte  d’oppida (forteresses imposantes) sur des sites archéologiques majeurs (Hallstatt, La Tène).

Les guerriers celtes portaient un casque conique, parfois à cornes, et combattaient vêtus de courtes tuniques de lainage aux motifs à rayures ou en damiers. Certains allaient toutefois nus, se munissant d’un bouclier, de poignards, de lances ou d’épées longues. Bons artisans, ils travaillaient l’or et l’argent, fabriquant des torques, des fibules, des contenants rituels, des carnyx (sorte de trompes) et d’autres objets utilitaires ou commémoratifs. Tout comme les Gaulois auxquels ils sont associés, les Celtes honoraient de nombreuses divinités par le biais de rituels dirigés par des druides aux pouvoirs magiques. La forêt était sacrée et ils rendaient un culte à certains animaux.  Les Celtes incinéraient leurs morts et conservaient leurs cendres dans des urnes sises sous des tumulus.

Fondé en 2014-2015, le clan de la forêt Celte a adopté le chêne à trois entrelacs pour emblème, symbole du cycle de la vie. Le groupe caresse le projet de s’adonner à l’arborosculpture, une forme d’art qui utilise les rameaux de saule.

Camp des écossais - Clan Wallace

Dirigeants : Louis Landry et André Hallé

Aux confins des terres du Bourg de St-Marcellin, loin au-delà des murs de l’enceinte, se trouve le lieu-dit de Stoneheaven, terre ou réside dans le redouté clan Wallace.

Ce clan origine de son fondateur Richard d’Oswestry,  originaire du Pays de Galles, qui suivit son seigneur en Écosse vers 1067 et y gagna le surnom de Richard Waleis (Richard le Gallois). Le clan actuel prit ce nom de famille en l’honneur du héros national William Wallace, le « Braveheart » qui fut la bougie d’allumage de la résistance écossaise a l’envahisseur anglais.

À la feste médiévale de Saint-Marcellin, le clan reproduit les us et coutumes de ces populations qui vivaient au nord du mur d’Adrien dans le haut moyen-âge. Les « sept » et familles qui composent le groupe, préfigurent le système de caste et les traditions populaires qui perdureront jusqu’à son apogée en 1746, date de la bataille de Culloden ou le régime britannique démantèlera ce mode de vie ancestrale.

Au camp, il n’y a pas de vie de château ni de costumes riches que portais les nobles de cette époque, mais l’habillement simple des populations rurales des campagnes écossaises. Les visiteurs y comprendront pourquoi nous portons le fèileadh beag, le breacan fèild ou le fèileadh mòr de tartan dont l’origine se perd dans la nuit des temps. Mais surtout, ils y trouveront une reproduction d’un village typique composé d’une « Longhouse » de pierres sèche au toit de tourbe « unique au Québec », ses halles avec son four à pain, sa forge fonctionnelle, son gibet, ses maisonnettes de bois, et plus encore. La boutique de produits artisanaux et les différentes scènes ou l’histoire des armes à travers les siècles est à l’honneur. N’oublions pas l’ambiance celtique et les spectacles de musique écossaise.

À bientôt pour vivre l’expérience écossaise a Stoneheaven. Le Clan Wallace vous dit Alba gù Brath !!

Clan islandais Vegvisir

Répondant : Charlie Deschênes

Emblème du clan, le Vegvίsir est un symbole de protection magique à huit branches d’origine islandaise. L’Islande a été colonisé par des vikings reconnus pour leur intrépidité à parcourir les mers et ayant le goût de l’aventure, ce qui les mènera jusqu’en Amérique.

Des norvégiens accostent alors dès l’an 860 sur ces rivages peu boisés et comportant de nombreuses sources chaudes. L’île volcanique offrait de vaste pâturages et les ressources de la pêche à ces nouveaux arrivants. La colonisation s’y poursuivit jusqu’en 930, époque où commence l’Ère des sagas et l’histoire d’un peuple insulaire pourvu d’une société unique.

Quant à lui, le clan Vegvίsir a vu le jour en 2016 à l’initiative de Charlie Deschênes. Il compte une quinzaine de membres animés par le désir de faire connaître le mode de vie des islandais. Ils s’intéressent entre autres à l’élevage et à l’artisanat ayant joué un rôle prépondérant dans la survie des colonisateurs. Une revue historique est présentée par les membres lors de la feste médiévale, faisant revivre certains personnages de la fin de l’ère viking et représentant différentes nations ayant peuplé l’île.

Camp viking - Troupe Krablag

Responsable : Simon Gosselin

La compagnie de Saint-Adrien

Répondants : Frédéric-Antoine Guay-Vachon (Jolicoeur) et Alexandre Dionne (Harold le Bœuf)

Fondateurs : Frédéric-Antoine Guay-Vachon, Alexandre Dionne, Thomas Guay-Vachon et Christian Thivierge

La compagnie de Saint-Adrien  a vu le jour en 2018 et reproduit une compagnie d’ordonnance de la fin du Moyen Âge. Comme Saint Adrien de Nicodème est le patron des soldats, le choix des fondateurs s’est porté sur lui pour nommer la compagnie qui compte actuellement douze membres. Tous partagent une passion pour l’Histoire, particulièrement celle de la France du  quinzième siècle, époque où le duché de Bourgogne était sous la main de Charles le Téméraire.

Les guerres de Bourgogne (1474-1476)  ont marqué un tournant dans  l’Histoire de l’Europe. Ce duché était alors en passe de devenir un royaume indépendant de la couronne française, ce que voyait d’un très mauvais œil le roi Louis XI. Pour lutter contre la France et ses alliés, Charles le Téméraire instaure un nouveau système militaire : la compagnie d’ordonnance. Cette organisation vise à disposer d’une armée permanente rémunérée. Toutefois, le duc meurt en 1477 au cours d’une bataille et la Bourgogne  reste dans le giron français.

Les membres de la Cie de Saint-Adrien ont adopté une croix  de Saint-André rouge comme emblème et répondent aux cris : « Pour le bon Duc! Bourgogne! » et « La Bourgogne veille et tout va bien! »  Leurs armes sont celles de la fin du Moyen Âge : piques, vouges, épées, mais également des canons à main (handgone) dont l’armée bourguignonne faisait usage.

Association Médiévale de Québec

Les chevaliers de Saint-Marcellin

25 ans de frissons, 25 ans d’émotions, 25 ans de passion !
L’Association Médiévale de Québec (l’AMQ), est un groupe de représentation historique qui se situe dans la seconde partie du 15e siècle, vers la fin du Moyen Âge. Les nombreux membres souhaitent vous faire vivre une immersion dans le passé, lors de tournois de chevaliers ou en évoquant la vie quotidienne. L’AMQ est d’abord et avant tout, une équipe, un groupe solidaire de gens passionnés ayant pour but de faire tourner la grande roue qui la représente.

Suivez-nous, et laissez-vous guider dans un voyage vers le passé… Que ce soit dans les écuries où vous verrez les palefreniers à l’œuvre ; sous la tente des chevaliers où les écuyers vaquent à leurs occupations ; dans les diverses échoppes d’artisans où vous pourrez observer des techniques historiques ; dans les cuisines où la nourriture histocompatible est à l’honneur ou à l’auberge, notre campement, vous plongerez dans un monde de découvertes insoupçonnées. Les chevaliers vous feront vivre toutes sortes d’émotions avec leurs armures tout aussi rutilantes que leurs muscles. Des représentations de combats à l’épée ou à la hallebarde vous laisseront sans mots. Vous pourrez aussi admirer l’agilité et la précision de nos cavaliers lors de jeux équestres tels que le penon, la coupe de têtes ou la quintaine. Venez encourager votre chevalier favori lors des joutes où vous verrez des lances voler en éclats sous vos acclamations. Soyez bien à l’aise de crier très fort, les chevaliers entendent bien mal sous leur armure ! Le soir venu, les membres de l’AMQ vous invitent à un moment magique où cracheurs de feu et jongleurs s’associent pour vous offrir un spectacle enflammé. Vous serez émerveillés par les prouesses de chacun.

Quand vous passerez nous voir, n’hésitez pas à demander un autographe à un de nos chevaliers ; à saluer bien bas les nobles Dames ; à demander une petite pirouette à notre saltimbanque ou à discuter d’une recette avec notre maître-queue… Chaque membre a bien hâte de vous partager un brin de notre passion.

Les Mamelouks

Répondant : Jean Valiquette (Lord John Williams of Farnham)- chef de guerre

Fondateurs : Jean Valiquette, Mario Benjamin (Lord Benjamin de lOrb), Jacques Dumas (Serego Da Verona) et Robin Saint-Pierre (Hérault Robin Dit Dessin)

Fondé en 2004, le clan des Mamelouks a migré à Saint-Marcellin en 2016. Le scorpion sur fond noir constitue son emblème. À l’origine, les Mamelouks étaient des esclaves provenant de régions diverses (Turquie, Caucase, steppes asiatiques) que des soldats arabes avaient capturés à des fins de servitude. De plus en plus nombreux en Égypte, ces esclaves se sont révoltés en 1250, détrônant le gouvernement Ayoubbide qui avait pris le pouvoir après Saladin.  Au départ  sans religion, ils ont défendu l’Islam en Égypte, en Syrie et en Arabie contre les envahisseurs francs (septième croisade et subséquentes). Les Mamelouks ont ainsi obtenu le contrôle de toute l’Égypte, formant une véritable dynastie militaire jusqu’en 1517. Impressionné par leur histoire, Napoléon Bonaparte s’est constitué une garde de Mamelouks au retour de sa campagne d’Égypte.

Ils étaient avant tout des tribus nomades vivant dans des yourtes, des habitations démontables, rondes et basses, offrant peu de prise aux terribles vents du désert. Élément central de leur culture, la yourte ne comportait qu’une ouverture richement décorée, attestant de la puissance de la tribu.

Quand ils n’étaient pas en guerre, les Mamelouks se déplaçaient de pâturage en pâturage avec leurs troupeaux de moutons, utilisant laine et peaux pour se vêtir et habiller leurs maisons.

Cri de ralliement : Ceux qui le savent sont au courant!

Camp viking - Clan du Mossurland

Répondants : Harold Ouellet et Stéphanie Dumas

Fondé en 2006, le clan du Mossurland compte près d’une trentaine de membres, répartis en divers groupes familiaux. Leur objectif commun est de faire vivre au public la culture d’un village viking à l’aube de cette période qui s’étend de 793 à 1066. En vieux norrois, Mossurland signifie « Terre des érables », un nom approprié pour le Bas-Saint-Laurent!

Les cycles étaient importants pour les différents peuples scandinaves du Moyen Âge. En conséquence, le clan a opté pour un visuel fort et représentatif de cette vision du monde. Le Serpent Jörmungandr se mord la queue, formant un cercle parfait où le début et la fin de toutes choses se confondent. Le cercle est un symbole d’espoir et de renouveau, mais aussi de vie. Le corps du serpent est constitué de maillons d’importance égale, à l’image des membres du clan, soulignant la force et la cohésion du groupe.

Tout en faisant revivre les us et les coutumes vikings par la personnification des acteurs de la vie quotidienne de l’époque, les membres du Mossurland mettent un point d’honneur à reconstituer les anciens rituels et cérémonies en lien avec la mythologie nordique (Odin, Thor, Frey, Freya, etc).

Les membres ont choisi un cri de ralliement original autant que populaire : Bacon!

Le clan du Mossurland vous invite donc à venir partager sa passion du Moyen Âge à Saint-Marcellin.

Bienvenue à tous!

Commanderie des Templiers de Saint-Marcellin

Dirigeant : François Lévesque (Franscoy d’Abi)

Qui ne connaît pas les valeureux templiers qui ont défendu les pèlerins sur le chemin de Jérusalem? Pendant les douzième et treizième siècles, les templiers ont constitué une formidable organisation, tant religieuse que militaire. À l’origine logé dans l’antique temple du roi Salomon à Jérusalem (d’où leur nom), le petit noyau dirigé par Hugues de Payens (ou Payns) a essaimé dans plusieurs royaumes d’Europe, formant de multiples commanderies. Les templiers sont ainsi devenus des figures essentielles des croisades.

La commanderie de Saint-Marcellin existe depuis 2009 et son fondateur, maître Franscoy d’Abi, est toujours à son poste. Les huit membres  partagent le même intérêt pour l’Histoire médiévale et la période templière, particulièrement celle postérieure à la bataille de Hattîn (1187). Fait à noter, il s’agit de la seule commanderie en terre québécoise.

L’étendard mi-parti des templiers, le gonfanon d’argent au chef de sable Baucéant (ou Baucent), flotte fièrement au-dessus de leur campement, où épées, pavois et lances rappellent les nombreux combats qu’ils ont livrés. Cependant, ces rudes guerriers ne recherchent pas la gloriole, ainsi que le mentionne clairement leur devise : « Non nobis Domine, non nobis sed nomini tuo da gloriam » (Non pas à nous Seigneur, non pas à nous, mais à Ton Nom donne la gloire). Les templiers portent aussi la croix pattée à gueules, devenue le symbole des croisés.

La royauté

Roi depuis les touts débuts de la Feste médiévale, Pierre Kotte Premier régnait sur le Bourg de Saint-Marcellin. Veuf depuis dix ans, il a reçu une offrande bien particulière de la part des Mamelouks. La princesse Isabeau Du Lac. Pour sceller la paix avec le royaume, le clan de guerriers avaient donné sa main au roi. Dignement, elle avait accepté son destin, celui des mariages arrangés qui ne m’arrangent que les autres. Mais son charme et son rire si mélodieux firent fondre le cœur du roi. Cet homme sévère autrefois si sérieux, dont en disait qu’il ne souriait jamais, reprit goût à la vie, et devin même… Assez festif !

 

Les banquets se multiplièrent au royaume de Saint-Marcellin, mais tous n’avaient pas le cœur aussi joyeux, dont la Compagnie de Saint-Adrien. Une querelle éclata entre le Roi et Jolicoeur, commandant des mercenaires de Bourgogne et l’épée de ce dernier se logea dans les entrailles du monarque. Malgré les efforts, des guérisseurs celtes et des Templiers, Pierre Kotte Premier succomba à ses blessures. La Reine Isabeau Du Lac, forte du serment d’allégeance de Sir Alexandre de Saint-Georges, représentant les chevaliers de la couronne, se retrouve maintenant seule pour régner sur le royaume.

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